Dans les maisons où les
enfants meurent
Il entre de très vieilles personnes
Elle s'asseyent dans l antichambre
Leur canne entre leurs genoux noirs
Elles écoutent, hochent la
tête.
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Toutes les fois que l'enfant
tousse
Leurs mains s'agrippent à leurs coeurs
Et font des grandes araignées jaunes
Et la toux se déchire aux coins des
meubles
En s 'élevant, molle comme un papillon
pâle
Et se heurte au plafond pesant.
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Elles ont de vagues sourires
Et la toux de l'enfant s'arrête
Et les grandes araignées jaunes
Se reposent, en tremblant
Sur les poignées de buis pôli
Des cannes, entre les genoux durs.
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Et puis, lorsque l'enfant est
mort
Elle se lèvent, et vont ailleurs...
BV
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